L’histoire de cette danse est unique, elle est née de la “Street” et est aujourd’hui entrain de faire ses pas vers les jeux olympiques (Breakdance Paris 2024) (non confirmé à cette date, il faudra attendre septembre 2019 pour avoir une réponse définitive du Comité International Olympique (CIO)).
Même si le breaking est très physique, c’est avant-tout un art. Un art qui pousse à se rechercher et à trouver son individualité. Cette danse permet à des jeunes d’exprimer et de créer leur propre univers. C’est la liberté du b-boying, apporter son propre style, sa propre touche.
Les pionniers du breaking/b-boying/breakdance : Richard “Crazy Legs” Colon et Kenneth “Ken Swift” Gabbert du groupe Rock Steady Crew, s’inspiraient de leur vie quotidienne pour façonner leur mouvement. Pour ne citer que quelques unes de leur inspiration; James Brown, le Kung-fu, la gymnastique et tant d’autres… Ils ont amené les générations futures à toujours innover. Aujourd’hui, le breaking est un art ouvert, qui demande des prouesses physiques hors-normes. On y voit de toutes les cultures, capoeira, arts-martiaux, contemporain,.. et tout cela se ressent aussi dans le style musical qui évolue chaque année.
Toutefois, il faut noter quatre éléments du breaking, ce sont les bases et celles-ci maitrisées ouvrent des portes à une création sans limite :
Toprock, Footwork, Power-moves et Freeze.
Power-moves
Alors qu’est-ce que le breaking ? C’est un passe-temps, un art, un loisir, une communauté. Ça peut être tant de choses, mais c’est avant tout du plaisir; de se dépenser physiquement, mais aussi d’amener ses idées à la vie.